Pas loin de la plantation ou vécue Marguerite Duras, le charme désuet de Kep me plonge dans les récits des écrivains voyageurs du début du XXème.
Ici le temps s'est arrêté.
Une route côtière plantée de casuarinas le long de laquelle sont disséminées quelques villas décrépites et envahies par la végétation, dont le palais de Sihanouk abandonné et rongé par l'humidité, des dizaines de hamacs le long de la mer pour les piques niques dominicaux, et les siestes rendues nécessaires par la chaleur étouffante de l'après midi.
Malheureusement pas de belles plages, seulement une bande étroite de sable blond, de l'eau pas très turquoise mais l'île aux lapins juste en face offre le paysage tropical idyllique.
Un peu plus au nord, Kampot et son fameux poivre. Petite ville endormie au bord du fleuve dont le charme suranné émane des maisons de négoce coloniales transformées en bar et hôtel de charme.
Un massage traditionnel khmer, un jus de mangue frais, une soupe de nouilles au mélange incertain au marché, une ballade à vélo (chinois, c'est à dire sans freins ou presque, avec une selle et un guidon mouvants), une journée sans stress, c'est sur...
mardi 28 février 2012
lundi 20 février 2012
Back Home ? In Phnom Penh?
Le passage de la frontière entre la Thaïlande et le Cambodge est épique, une arnaque organisée par les douaniers des deux pays et leurs acolytes et leurs faux bureaux officiels juste avant le passage de la douane. Ils essaient juste de vous faire croire qu'il n'est pas possible de prendre le visa à la douane, mais biensur...
80% des gens se font arnaquer et absolument rien n'est expliqué dans les guides si ce n'est que c'est une galère!
Ne serait ce pas juste de la corruption???? C'est la même chose coté vietnamien, voire pire.
Nouveau business visa d'un mois seulement qu'il va falloir essayer de prolonger sans se faire racketter, ça promet.
Petite étape à Siem Reap histoire de ne pas passer 15 heures d'affilé dans un bus.
Promenade à vélo, pas de visite de temple cette fois ci à part cette petite merveille découverte par hasard.
Et retour à Phnom Penh, la ville trépidante où chaque jour voient le jour de nouveaux hôtels, restaurants branchés, night clubs, magasins de vêtements trendy.
La nouvelle boite à la mode ici: Le Saint Tropez ou toute la jeunesse dorée cambodgienne se trémousse, enfin les hommes ou plutôt les ados car ici les garçons dansent et les filles les observent timidement et ne dansent presque jamais. Exactement l'inverse de la France où les filles sont bras en l'air, nombril à l'air pendant que les garçons boivent des bières.
Ici, avec des talons, je dépasse tous les hommes, ça me change mais je ne suis pas sûre d'adorer le concept si vous voyez ce que je veux dire;-)
La maison sur la photo est à louer, des colocataires intéressées? À peu près 35 degrés en ce moment...
Bref beaucoup d'incertitude sur mon envie ou non de rester ici.
Je pars explorer la cote.
80% des gens se font arnaquer et absolument rien n'est expliqué dans les guides si ce n'est que c'est une galère!
Ne serait ce pas juste de la corruption???? C'est la même chose coté vietnamien, voire pire.
Nouveau business visa d'un mois seulement qu'il va falloir essayer de prolonger sans se faire racketter, ça promet.
Petite étape à Siem Reap histoire de ne pas passer 15 heures d'affilé dans un bus.
Promenade à vélo, pas de visite de temple cette fois ci à part cette petite merveille découverte par hasard.
Et retour à Phnom Penh, la ville trépidante où chaque jour voient le jour de nouveaux hôtels, restaurants branchés, night clubs, magasins de vêtements trendy.
La nouvelle boite à la mode ici: Le Saint Tropez ou toute la jeunesse dorée cambodgienne se trémousse, enfin les hommes ou plutôt les ados car ici les garçons dansent et les filles les observent timidement et ne dansent presque jamais. Exactement l'inverse de la France où les filles sont bras en l'air, nombril à l'air pendant que les garçons boivent des bières.
Ici, avec des talons, je dépasse tous les hommes, ça me change mais je ne suis pas sûre d'adorer le concept si vous voyez ce que je veux dire;-)
La maison sur la photo est à louer, des colocataires intéressées? À peu près 35 degrés en ce moment...
Bref beaucoup d'incertitude sur mon envie ou non de rester ici.
Je pars explorer la cote.
lundi 13 février 2012
Burmese days in Ngwe Saung
Ngwe Saung: des kilomètres de plage vierge
Après 6 heures de bus et un départ à 4 heures du matin pour rejoindre le terminal de bus, j'arrive enfin dans un village un peu touristique de bord de mer, c'est à dire une rue à peine bétonnée, quelques restaurants à néons et chaises en plastique vertes, quelques boutiques de coquillage, je rejoins en trishaw, pousse poussé local, l'hotel choisi dans le lonely planet et c'est le bon choix.
Une dizaine de bungalows en bambou et quelques autres en dur directement sur la plage.
Sur la plage, personne, et dans l'hôtel des voyageurs de multiples nationalités avec qui partager des dîners, un bateau pour explorer les potentiels sites de plongée. Un seul club de plongée dans un hôtel de luxe mais ni moniteurs, ni divemaster et ils ne savent pas utiliser le compresseur pour remplir les bouteilles, il y a encore des trucs à faire ici, c'est sur!
J'achète une énorme carangue à des pêcheurs qui arrivent juste sur la plage pour la faire griller à l'hôtel, je pars en moto avec un futur as du tourisme local jusque son village de pêcheurs où sa sœur me prépare à déjeuner. I am the "king of the World" sur la plage déserte en moto. On m'avait prévenu qu'il y avait des bacs pour traverser les bras de mer, j'étais loin d'imaginer qu'on l'élit faire grimper la moto dans des barques!
Cette plage au bord du golfe du Bengale dégage une atmosphère toute particulière, c'est la Birmanie mais en même temps l'Inde, l'Afrique et aussi Carteret.
La couleur du sable, de l'eau et surtout les rochers.
Je n'arrive plus à bouger d'ici et mes projets de deux, trois nuits se transforment en huit.
La petite bande qui s'est créée ici n'arrive plus à se séparer et chacun repousse chaque jour son départ, une espèce d'énergie particulière indescriptible se dégage d'ici.
Malheureusement, les terrains pieds dans l'eau ont déjà été rachetés par les généraux qui sentent le vent tourner et placent l'argent détourné dans ce qu'ils veulent voir se transformer en un futur Phuket.
J'ai mis cependant quelqu'un sur place sur la piste du terrain de mes rêves.
Il y a des centaines de kilomètres de côtes, l'espoir est permis.
Après 6 heures de bus et un départ à 4 heures du matin pour rejoindre le terminal de bus, j'arrive enfin dans un village un peu touristique de bord de mer, c'est à dire une rue à peine bétonnée, quelques restaurants à néons et chaises en plastique vertes, quelques boutiques de coquillage, je rejoins en trishaw, pousse poussé local, l'hotel choisi dans le lonely planet et c'est le bon choix.
Une dizaine de bungalows en bambou et quelques autres en dur directement sur la plage.
Sur la plage, personne, et dans l'hôtel des voyageurs de multiples nationalités avec qui partager des dîners, un bateau pour explorer les potentiels sites de plongée. Un seul club de plongée dans un hôtel de luxe mais ni moniteurs, ni divemaster et ils ne savent pas utiliser le compresseur pour remplir les bouteilles, il y a encore des trucs à faire ici, c'est sur!
J'achète une énorme carangue à des pêcheurs qui arrivent juste sur la plage pour la faire griller à l'hôtel, je pars en moto avec un futur as du tourisme local jusque son village de pêcheurs où sa sœur me prépare à déjeuner. I am the "king of the World" sur la plage déserte en moto. On m'avait prévenu qu'il y avait des bacs pour traverser les bras de mer, j'étais loin d'imaginer qu'on l'élit faire grimper la moto dans des barques!
Cette plage au bord du golfe du Bengale dégage une atmosphère toute particulière, c'est la Birmanie mais en même temps l'Inde, l'Afrique et aussi Carteret.
La couleur du sable, de l'eau et surtout les rochers.
Je n'arrive plus à bouger d'ici et mes projets de deux, trois nuits se transforment en huit.
La petite bande qui s'est créée ici n'arrive plus à se séparer et chacun repousse chaque jour son départ, une espèce d'énergie particulière indescriptible se dégage d'ici.
Malheureusement, les terrains pieds dans l'eau ont déjà été rachetés par les généraux qui sentent le vent tourner et placent l'argent détourné dans ce qu'ils veulent voir se transformer en un futur Phuket.
J'ai mis cependant quelqu'un sur place sur la piste du terrain de mes rêves.
Il y a des centaines de kilomètres de côtes, l'espoir est permis.
mercredi 8 février 2012
Chronique de Birmanie : ils sont fous ces bouddhistes!
Dans ce pays classé dans les cinq plus pauvres du monde, on aperçoit dans tout le pays, dans chaque village, des pagodes dorées, en construction ou parfaitement restaurées. Une vraie ferveur envahit le pays, il y a des monastères dans presque tous les villages, chaque birman, filles et garçons, doit y faire au moins deux passages dans sa vie, c'est à dire se raser la tête, porter l'habit pourpre, mendier sa nourriture et prier de nombreuses heures.
Une partie importante de leur revenu est allouée à des donations.
Un bouddha couché de 170 m est en cours de construction près de Moulmein, dans le sud, un des plus grands du monde, il est couché sur deux montagnes.
J'ai commencé la visite par l'intérieur de la main, juste hallucinant d'enormité et de kitsch aussi. Ces cils font un mètre et ne parlons pas de ses oreilles.
Autre ciriosité, l'ascension du Golden Rock, des centaines de pèlerins se précipitent, se battent presque dés 6 heures du matin pour essayer de grimper dans la benne surchargée de trucks qui les emmèneront en pèlerinage jusqu'au fameux Golden Rock. J'ai failli renoncer de peur de me faire écraser par cette foule, ce n'est pas la Mecque mais quand même un peu angoissant de se retrouver serrée à 50 dans la benne d'un camion, à fond dans des routes de montagne, surtout à la descente.
Mais bon, c'était une expérience dont les futurs visiteurs du pays peuvent largement se passer.
Pour arriver au somment, les étrangers sont descendus des trucks avant le sommet, ça fait plaisir, 45 minutes de montée bien raide qu'on peut choisir de faire en chaise à porteurs.
Au sommet, une immense plateforme, sur laquelle sont installées des familles qui ont passé la nuit là pour ne pas manquer la prière au lever du soleil.
J'ai envisagé-pas longtemps- de passer une semaine dans un centre de méditation dans la campagne, j'ai vite été calmée quand j'ai réalisé qu'il fallait se lever à 3h30 du matin et ne plus manger après 12h30, pour se concentrer sur sa respiration jusqu'à 23h30.... Sûrement très bien mais j'i senti que je n'étais pas du tout prête, je m'ennuyais déjà et encore plus quand j'i vu un long serpent blanc près de la porte se sortie, un signe u'il ne fallait ps y aller sûrement!
Un jour peut être?
Une partie importante de leur revenu est allouée à des donations.
Un bouddha couché de 170 m est en cours de construction près de Moulmein, dans le sud, un des plus grands du monde, il est couché sur deux montagnes.
J'ai commencé la visite par l'intérieur de la main, juste hallucinant d'enormité et de kitsch aussi. Ces cils font un mètre et ne parlons pas de ses oreilles.
Autre ciriosité, l'ascension du Golden Rock, des centaines de pèlerins se précipitent, se battent presque dés 6 heures du matin pour essayer de grimper dans la benne surchargée de trucks qui les emmèneront en pèlerinage jusqu'au fameux Golden Rock. J'ai failli renoncer de peur de me faire écraser par cette foule, ce n'est pas la Mecque mais quand même un peu angoissant de se retrouver serrée à 50 dans la benne d'un camion, à fond dans des routes de montagne, surtout à la descente.
Mais bon, c'était une expérience dont les futurs visiteurs du pays peuvent largement se passer.
Pour arriver au somment, les étrangers sont descendus des trucks avant le sommet, ça fait plaisir, 45 minutes de montée bien raide qu'on peut choisir de faire en chaise à porteurs.
Au sommet, une immense plateforme, sur laquelle sont installées des familles qui ont passé la nuit là pour ne pas manquer la prière au lever du soleil.
J'ai envisagé-pas longtemps- de passer une semaine dans un centre de méditation dans la campagne, j'ai vite été calmée quand j'ai réalisé qu'il fallait se lever à 3h30 du matin et ne plus manger après 12h30, pour se concentrer sur sa respiration jusqu'à 23h30.... Sûrement très bien mais j'i senti que je n'étais pas du tout prête, je m'ennuyais déjà et encore plus quand j'i vu un long serpent blanc près de la porte se sortie, un signe u'il ne fallait ps y aller sûrement!
Un jour peut être?
dimanche 5 février 2012
Chroniques de Birmanie: Yangon aka Rangoon
Pour l'instant la ville à encore gardé son charme très particulier, beaucoup d'indiens qui donnent à certains quartiers de la ville des airs de Calcutta avec ses vendeurs de samoussas, et aussi ... l'omniprésence des crachats rouges de bétel sans parler du bruit associé à ces crachats très reconnaissable... et charmant!
La vie nocturne n'est pas trépidante, quoique je me suis retrouvée au premier rang d'une sorte de radio crochet, dont la scène était installée sur les plateformes de deux camions garés côte à côte, avec en guest star des travestis dansant sur des musiques Bollywood, plutôt surprenant surtout dans le quartier musulman.
À part cela, deux, trois bars excentrés pour expats et fils de généraux, on est loin de Castel!
La cuisine locale s'est très nettement améliorée depuis 2005 même si globalement elle n'est pas terrible car tout baigne dans l'huile, au menu notamment noodle with oil, soup with oil taste, queue et oreilles de cochon, abbats en tout genre, heureusement que les indiens sauvent la situation avec leur byriani à tout les coins de rue.
Les milliers de taxi dont les compteurs affichent fréquemment les 600 000 km et de bus hors d'âge, ,certains datant même des années 40, dégagent une fumée noire qui associée aux centaines de BBQ au charbon des échoppes de rue peut parfois rendre la ville irrespirable en fin de journée. Et heureusement, les motos sont interdites dans la ville, car ces pétrolettes à moteur deux temps ont rendu certaines villes asphyxiantes comme Saigon.
Ces quelques points noirs n'empêchent pas la ville d'être si séduisante et attirante.
L'ineptie locale est la conduite à droite mais le volant à droite, décision d'un général un matin qui voulait contredire le système anglais sans doute mais l'importation des voitures japonaise d'occasion a continué avec le volant à droite, extrêmement dangereux pour doubler évidement.
Après une certaine déception liée aux prix mirifiques des biens à louer et à vendre, j'ai décidé de partir trois jours sur une plage pour sortir de la pollution de Rangoon et surtout aller explorer la côte.
La vie nocturne n'est pas trépidante, quoique je me suis retrouvée au premier rang d'une sorte de radio crochet, dont la scène était installée sur les plateformes de deux camions garés côte à côte, avec en guest star des travestis dansant sur des musiques Bollywood, plutôt surprenant surtout dans le quartier musulman.
À part cela, deux, trois bars excentrés pour expats et fils de généraux, on est loin de Castel!
La cuisine locale s'est très nettement améliorée depuis 2005 même si globalement elle n'est pas terrible car tout baigne dans l'huile, au menu notamment noodle with oil, soup with oil taste, queue et oreilles de cochon, abbats en tout genre, heureusement que les indiens sauvent la situation avec leur byriani à tout les coins de rue.
Les milliers de taxi dont les compteurs affichent fréquemment les 600 000 km et de bus hors d'âge, ,certains datant même des années 40, dégagent une fumée noire qui associée aux centaines de BBQ au charbon des échoppes de rue peut parfois rendre la ville irrespirable en fin de journée. Et heureusement, les motos sont interdites dans la ville, car ces pétrolettes à moteur deux temps ont rendu certaines villes asphyxiantes comme Saigon.
Ces quelques points noirs n'empêchent pas la ville d'être si séduisante et attirante.
L'ineptie locale est la conduite à droite mais le volant à droite, décision d'un général un matin qui voulait contredire le système anglais sans doute mais l'importation des voitures japonaise d'occasion a continué avec le volant à droite, extrêmement dangereux pour doubler évidement.
Après une certaine déception liée aux prix mirifiques des biens à louer et à vendre, j'ai décidé de partir trois jours sur une plage pour sortir de la pollution de Rangoon et surtout aller explorer la côte.
mercredi 1 février 2012
Merci Kate et Chad
Heureusement les guesthouses miteuses m'ont été épargnées pendant presque une semaine. Un jeune couple d'américains rencontrés à l'ambassade de Birmanie à Bangkok m'ont invitée à loger dans leur condo. Le condo birman n'a rien a voir à ce qu'on entend par ce terme, hormis la piscine (sans aucun transat autour), les sifflements du train d'un côté, les sirènes tonitruantes des barges sur le fleuve de l'autre sans oublier l'odeur du fleuve qui charrie toutes les ordures de la ville.
Une vue sur le fleuve qui pourrait être incroyable si ce n'est les vitres fumées et le grillage des fenêtres aussi grandes qu'un vasistas et ce dans un appartement de 100m2.
Mais une vraie maison, de l'eau chaude, des petits plats préparés et du vin français.
Quel français m'aurait accueilli si gentiment sans me connaître ???
Ici pas de touristes, surtout des voyageurs au long cours anglais, allemands, américains ... de tous horizons, de tous âgés, avec chacun une histoire intéressante.
Des gens que je recroiserais ou pas dans un autre pays, qu'importe, quelle richesse chaque jour.
Une vue sur le fleuve qui pourrait être incroyable si ce n'est les vitres fumées et le grillage des fenêtres aussi grandes qu'un vasistas et ce dans un appartement de 100m2.
Mais une vraie maison, de l'eau chaude, des petits plats préparés et du vin français.
Quel français m'aurait accueilli si gentiment sans me connaître ???
Ici pas de touristes, surtout des voyageurs au long cours anglais, allemands, américains ... de tous horizons, de tous âgés, avec chacun une histoire intéressante.
Des gens que je recroiserais ou pas dans un autre pays, qu'importe, quelle richesse chaque jour.
Rangoon : looking for a business place
Vu la médiocrité des hébergements ici, il est évident qu'une guesthouse gérée par un européen marcherait immédiatement.
En bref, dans la plupart des chambres pas de fenêtre, ni d'eau chaude il paraît que c'est mauvais pour la santé , toujours une vieille odeur de naphtaline, des couvertures en acrylique hors d'âge modèle unique à grosses fleurs dans tout le pays quand ce ne sont pas de vieilles serviettes de bain cousues ensemble, néon partout, chaises en plastique vert lagon, modèle unique aussi.
Apparemment pas un seul archi dans ce pays depuis le départ des anglais, aucun savoir faire dans la construction, ce qui est officiellement neuf à l'air d'avoir 10 ans alors ce qui a dix ans à l'air dans avoir 100, seul ce qui a vraiment 100 ans tient vraiment debout. Les horreurs de style chinois qu'on m'a fait visiter n'avaient pas de fenêtre dans les chambres, sans parler d'immeubles neufs avec des hauteurs sous plafond inférieures à 1,90m, certes les birmans ne sont pas tous très grands mais quand même.
Seules deux maisons ont attiré mon attention, une à louer, le propriétaire n'a finalement pas voulu rencontrer des étrangers pour la louer et l'autre a 4M$US...
Les prix sont ceux de NY alors qu'il n'y a aucune infrastructure.
Il y a eu jusqu'à 7 personnes à se joindre à la visite, 7 personnes qui espèrent passer à la caisse en cas de transaction. Le pays est totalement corrompu comme je m'y attendais mais à ce point! Tout le monde espère prendre une commission sur le dos de ceux qui travaillent et ce à tous les niveaux.
Trop tôt ou trop tard???
Il faut garder l'oeil ouvert, c'est le futur spot d'Asie.
Sans parler des kilomètres de plages vierges, avec des sites de plongée inexplorés, des vagues pour le surf, du vent pour le kite, des poissons délicieux pour le BBQ...et des birmans adorables encore contents de voir des étrangers.
En bref, dans la plupart des chambres pas de fenêtre, ni d'eau chaude il paraît que c'est mauvais pour la santé , toujours une vieille odeur de naphtaline, des couvertures en acrylique hors d'âge modèle unique à grosses fleurs dans tout le pays quand ce ne sont pas de vieilles serviettes de bain cousues ensemble, néon partout, chaises en plastique vert lagon, modèle unique aussi.
Apparemment pas un seul archi dans ce pays depuis le départ des anglais, aucun savoir faire dans la construction, ce qui est officiellement neuf à l'air d'avoir 10 ans alors ce qui a dix ans à l'air dans avoir 100, seul ce qui a vraiment 100 ans tient vraiment debout. Les horreurs de style chinois qu'on m'a fait visiter n'avaient pas de fenêtre dans les chambres, sans parler d'immeubles neufs avec des hauteurs sous plafond inférieures à 1,90m, certes les birmans ne sont pas tous très grands mais quand même.
Seules deux maisons ont attiré mon attention, une à louer, le propriétaire n'a finalement pas voulu rencontrer des étrangers pour la louer et l'autre a 4M$US...
Les prix sont ceux de NY alors qu'il n'y a aucune infrastructure.
Il y a eu jusqu'à 7 personnes à se joindre à la visite, 7 personnes qui espèrent passer à la caisse en cas de transaction. Le pays est totalement corrompu comme je m'y attendais mais à ce point! Tout le monde espère prendre une commission sur le dos de ceux qui travaillent et ce à tous les niveaux.
Trop tôt ou trop tard???
Il faut garder l'oeil ouvert, c'est le futur spot d'Asie.
Sans parler des kilomètres de plages vierges, avec des sites de plongée inexplorés, des vagues pour le surf, du vent pour le kite, des poissons délicieux pour le BBQ...et des birmans adorables encore contents de voir des étrangers.
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